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 Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow.

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Aurore G. Delgrave

Aurore G. Delgrave



Pseudo : Lune.
Patronus : Angora Blanc
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La pensine
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MessageSujet: Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow.   Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. EmptyDim 10 Jan - 16:25



    AURORE
    Gabrielle DELGRAVE


    17 ; 4ème ; 75% ; Résistante


        Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. 16h5ced


          IDENTITY

          NOM ; Delgrave.
          PRÉNOM ; Aurore Gabrielle.
          ÂGE ; 17 ans.
          DATE DE NAISSANCE ; 18 Mai.
          LIEU DE NAISSANCE ; Paris.
          PURETÉ DU SANG ; 75%.
          NATIONALITÉ ; Française.
          LIEU DE RÉSIDENCE ; Paris.


    YOU CAN'T HIDE ANYTHING

      MAISON & ANNÉE ; 3ème année, en provenance de Beauxbâtons.
      CAMP ; Officielle Collaboratrice qui cache un coeur de Résistante.
      PATRONUS ; Chat angora turc blanc.
      ÉPOUVANTARD ; Une nuée d'oiseaux.
      MIROIR DU RISED ; Elle retrouvant son frère.
      FUTUR MÉTIER ENVISAGÉ ; Professeur de Sortilèges... Mais c'est très indécis.




    TELL ME YOUR STORY

      HISTOIRE ; vous devez ici écrire l'histoire de votre personnage. pour cela, vous pouvez écrire un récit, des pages de journal, un rp... bref, faites comme vous voulez, tant que votre personnage y est correctement décrit et que tout est bien rédigé. nous vous demandons 1 000 mots minimum.


    WHO'S BEHIND THE CHARACTER ?

      AVATAR ; Alexis Bledel
      PSEUDO ; Lune.
      ÂGE ; 17y-o.
      OU AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? ; Je le suis depuis toujours... Et je fais chi*r les admins pour qu'elles l'ouvrent depuis 3 semaines...
      SUGGESTIONS ; Bah... nan.
      CODE DU RÈGLEMENT ; Je l'ai caché dans ma fiche en 2 mots :D Bah quoi je me suis fait chier à lire votre règlement à vous de vous décarcasser. Namého
      AUTRE CHOSE ? ; Ouais ouais... Nan.



Dernière édition par Aurore G. Delgrave le Dim 10 Jan - 22:58, édité 3 fois
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Aurore G. Delgrave

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MessageSujet: Re: Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow.   Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. EmptyDim 10 Jan - 17:41

Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. Img-133857wxse4
I Was Happy Before He Left.

      Aurore » Dis, Matthew, tu joues avec moi ?
      Matthew » A quoi ?
      Aurore » On fait du Quidditch miniature ?
      Matthew » Mais je gagne tout le temps et tu n’aimes pas perdre !
      Aurore » T’as qu’à me laisser gagner cette fois !
      Matthew » Sûrement pas ! Après tu me le reprocherais !
      Aurore » Tu veux toujours avoir raison ! Allez on joue !


    S’envolant sur des balais à peine plus petits qu’eux ils commençaient à jouer, c’était comme ça tous les jours. Les parents regardaient avec un amour un peu trop débordant ces petits monstres qui volaient à deux mètres du sol, le plus grand piquant la balle à la première qui se mettait rapidement en colère devant la facilité avec laquelle son frère lui chipait leur souaffle miniature. Mais elle aimait plus jouer avec son aîné que gagner, c’était un peu frustrant d’ailleurs de voir avec quelle facilité Aurore pouvait oublier ses envies de victoires pour que Matthew s’occupât d’elle un instant.

    Sitôt la partie finie Aurore rentrait dans la maison, comme tous les autres jours. Et comme tous les autres jours elle était d’humeur boudeuse, elle avait perdu, et selon le rituel bien observé, dans dix minutes Matthew viendrait la voir pour lui proposer de jouer. C’était le bonheur, à l’état pur. Gabrielle ne se lasserait jamais d’aimer son frère plus que quiconque. Jamais elle ne se sentirait frustrée de n’être autant aimée que de lui. Non elle n’arrivait pas à formuler pensée plus heureuse que le lien qui unissait les deux enfants. Ils étaient certes âgés de neuf et six ans à cette époque là, mais c’était d’une clarté absolue dans l’esprit de la jeune fille. Son frère comptait plus que le reste du monde. Plus que sa mère, plus que son père, plus que Popeye sa peluche vert épinard qu’il lui avait offerte.

    Mais ce jour-là il y avait quelque chose de différent. Après que les dix minutes ne fussent écoulées ce ne fut pas Matthew qui entra dans la chambre, mais leur mère. Elle avait les yeux gonflés, le teint pâle. On aurait dit qu’elle venait à l’abattoir tant le regard furieux d’Aurore lui donnait envie de fuir. Elle le savait, elle venait de briser l’un de leur rituel.

      Mère » Aurore, chérie, il faut que je te parle.
      Aurore » VA T’EN C’EST MATTHEW QUI VIENT !
      Mère » Il ne viendra pas chérie. Papa lui parle dans sa chambre.
      Aurore » On a fait quelque chose de mal ?
      Mère » Non ma belle, ce n’est pas de votre faute. Papa et moi… On ne s’aime plus.
      Aurore » Pourquoi ? Moi je vous aime tous les deux !
      Mère » Ecoute moi. Papa va partir de la maison et…
      Aurore » NON ! Il n’a pas le droit ! Non Maman ! Maman s’il te plaît ! Je veux pas qu’il parte avec lui ! Maman ! Maman…
      Mère » Je suis désolée chérie, Matthew doit partir avec Papa.
      Aurore » Sors de ma chambre.
      Mère » Tu comprendras un jour…
      Aurore » SORS DE MA CHAMBRE J’AI DIT ! SORS !


    Sa voix se brisa en un sanglot. Ce fut la dernière fois qu’on l’entendit parler dans cette maison. Après ça elle se terra dans le silence. Jusqu’au départ de Matthew, le lendemain. Jusqu’à leur départ de cette maison, à sa mère et elle, trois jours après. Elle n’avait pas ouvert la bouche. Elle était restée cloîtrée dans son silence, les seules paroles qui avaient franchi ses lèvres sur le quai de gare avaient été murmurées à l’oreille de son frère. « Ne me laisse pas toute seule, s’il te plait… »




Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. Img-134015w9lnq
I Felt Alone When He Went Away.

    Assise dans l’herbe elle ne prêtait aucune attention à ce qui l’entourait. Aucun bruit ne la distrayait de sa solitude, ni même la plus belle des fleurs. Elle aurait été la plus belle des fleurs pour lui, à une époque. S’il ne l’avait pas oubliée. Elle ne saurait jamais s’il avait trouvé Popeye, s’il l’avait gardé ou s’il l’avait jeté. Il l’aurait probablement jeté, c’était tellement son genre en plus de ça. Voilà un mois qu’il était parti, sa mère ne supportait plus de la voir assise dans l’herbe, immobile, ne se frottant qu’une fois de temps en temps les yeux pour essuyer une larme. Un tel chagrin n’était pas normal, pas normal pour qui aurait pleuré une personne qu’il ne reverrait pas avant longtemps, Aurore elle pleurait un mort. Elle ne le retrouverait jamais plus et c’était là la plus cruelle des vérités.

      Mère » Aurore, rentrons.
      Aurore » Pas encore.
      Mère » S’il te plaît Aurore, arrête de faire l’enfant. Rentre la nuit va tomber.
      Aurore » Je ne veux pas rentrer.
      Mère » Je t’apporte une couverture.
      Aurore » A ta guise.
      Mère » Quelle insolente !
      Aurore » Je veux mourir Maman…
      Mère » Mais que dis-tu donc ?
      Aurore » J’en ai assez d’être seule.
      Mère » Mais je suis là ! Et Hannah aussi !
      Aurore » Mais lui non. Matty ne reviendra pas, ne reviendra plus.
      Mère » J’en suis désolée.
      Aurore » C’est parce qu’il ne m’aimait plus ?
      Mère » Je ne pense pas.
      Aurore » Ha… Je n’ai pas de bonne raison alors.
      Mère » De bonne raison pour ?
      Aurore » Le haïr.
      Mère » Pourquoi donc veux-tu le haïr !?
      Aurore » Je ne peux pas. Je ne peux que souffrir en espérant qu’il reviendra un jour. J’aimerais pouvoir le détester, mais je peux pas. Je l’aime c’est dommage hein Maman ?
      Mère » Je suis désolée mon Ange. Tout est de notre faute.
      Aurore » C’est pas grave Maman. Je m’habituerai à être seule.


    On dit des plus grandes peines qu’elles sont des plaies qui ne se referment jamais. La disparition de Matthew dans sa vie était à jamais l’entaille béante qui régnait sur son âme. Elle ne vivait pas sans lui, elle survivait. S’enfermant dans sa chambre avec des livres toute la journée, lisant plus que de raison. Peu importait le livre, le style, l’auteur. Elle lisait Tolstoï à sept ans pour ne pas penser. Puis un jour sa mère laissa intentionnellement un livre de magie sur une table. Aurore s’embourba donc dans les méandres profonds et insondables de ces textes qui parlaient des différentes utilisations de tel ou tel sortilège. Sa passion ne résidait pas tant dans l’apprentissage que dans le comblement de son mal-être. Mais elle était une de ses petites filles brillantes qui avaient des résultats excellents sans sourciller. Bientôt sa mère lui fit part d’une chose, elle était appelée à être une grande sorcière. Et c’était indéniable, elle connaissait déjà plus de chose que la plus part des élèves à leur entrée à Beauxbâtons. Son objectif était tout tracé, devenir l’une des plus brillantes sorcières de son époque.

    Aurore était l’enfant la plus belle qu’il était donnée de voir. Son visage était semblable à celui d’un ange et ces yeux, deux perles bleues vous transperçaient l’âme. Son rire était le plus merveilleux son au monde, il l’était d’autant plus de part sa rareté. On dit que ce qui est rare est précieux et le rire de cette enfant n’échappait pas à cette règle. Jusqu’à ce qu’elle ait 15 ans elle porta le deuil de son frère. Son existence était partagée entre la lecture de divertissement, les études dans lesquelles elle excellait et la lecture éducative. Car elle n’avait rien d’autre dans sa vie, avant que la magie n’entre, qu’un but auquel se raccrocher.


Dernière édition par Aurore G. Delgrave le Dim 10 Jan - 22:56, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow.   Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. EmptyDim 10 Jan - 17:49

Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. Img-133906fv9ju
I Stood Up And I Began To Live.

    Bond dans le temps. Relecture d’un passage qu’Aurore avait écrit dans un carnet alors qu’elle était à la fin de sa deuxième année à Beauxbâtons.

      « Je suis entrée à Beauxbâtons un peu comme un enfant monte dans un manège. Empressée que j’étais de découvrir enfin le monde auquel j’aspirai. On m’avait dit « tu verras c’est beau, tu verras c’est grand ». Mais ce n’était rien de tout ça. Tout y était merveilleusement extravagant, très Renaissance. Bien sûr, je m’en suis rendue compte après, mais j’étais la seule fille de quinze ans à m’extasier devant la beauté de telle arche gothique ou d’un autre aspect du cadre qu’offrait le château. A l’époque, et je le déplore, je n’étais encore qu’une enfant. Je veux dire par là que je n’avais jamais touché à l’alcool, que je n’avais jamais eu beaucoup d’amis et que les garçons restaient pour moi un mystère complet bien que je les trouvai forts agréables à regarder et qu’ils semblaient penser pareil de moi.

      Non je n’étais pas de ces filles qui sont d’une beauté vulgaire, on me trouvait juste belle. Beauté froide, beauté inaccessible. Je n’étais pas une de celles que l’on attrape par le bras et qui se laissent engrosser dans un placard à balais. J’étais plus de celles que l’on courtise, convoite et qu’on n’arrive pas à comprendre. Je ne le faisais pas exprès c’était juste ainsi. Et à cette époque je ne voyais pas l’intérêt d’avoir des relations avec un garçon. Après tout ce n’était que de la distraction supplémentaire, et je n’avais aucunement besoin de sortir la tête des livres et des cours. Pour exceller je me devais d’être concentrée, c’était aussi simple que ça.

      Je me souviens encore de la première fois qu’un garçon m’a accostée, lors de mon premier soir à Beauxbâtons. Il était si charmant, si prévenant… Moi je n’y connaissais rien, j’avais bien sûr depuis longtemps compris que mon minois pouvait m’aider à ouvrir des portes qui étaient à demi ouvertes. Mais je n’avais nulle intention de me servir de mes charmes pour être appréciée. Non, en entrant à l’école de magie j’avais pris la décision de redevenir celle que j’étais enfant. Mon frère en moins. Je voulais être à nouveau cet éclatant rayon de soleil et cette jeune fille serviable. Et c’était en bonne voie. En un semestre j’avais fait la connaissance de tout le monde, j’avais fréquenté différents clubs, ouvert mes horizons à plus d’activité. N’oubliant bien sûr pas au passage d’être l’élève la plus brillante de ma promotion. Je n’étais pas populaire. Ce n’était pas un manque pour autant. Je pense que les élèves qui formaient ma bande d’amis m’aimaient à juste titre. Tout le monde semblait être bienveillant avec moi, c’est pour cela que je me méfiai d’ailleurs.

      On m’a accusé, une fois, d’être une manipulatrice, une calculatrice. Je pense que cela revient à dire que Einstein était pour qu’Hiroshima n’explose. Non je ne me sers pas des gens. Je sais juste comment parvenir à mes fins. J’ai trop de scrupules pour le faire souvent cependant. Mais quand j’ai une occasion rêvée qui se présente je n’hésite pas. C’est logique, normal, humain. Tout le monde aurait embrassé un garçon pour qu’il vous aide à faire telle ou telle chose. »



Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. Img-133914fyvxs
The Young Woman I Became.

    Elle avançait dans les couloirs de sa nouvelle école. Une année à Poudlard, la plus prestigieuse ou du moins la plus mythique des écoles de Magie. L’école anglaise avait accueilli en son sein de très prestigieuses personnalités, dont l’une qui n’était que le plus funeste personnage que la Terre ne portait encore. Gabrielle n’arrivait pas à croire que ce soir, dans trois heures, ils la répartiraient, lors d’une cérémonie officielle… Elle était devenue la jeune fille que l’on voulait comme était sienne. Elle était belle et d’une intelligence rare, semblait être tout à fait honnête et d’une pureté d’âme aussi pleine que de corps. Mais Aurore n’était plus rien de tout ça. Rapidement entre sa cinquième et sa sixième année elle avait compris comment fonctionnaient les gens, les choses. Et cet apprentissage avait commencé dans les règles.

    Par un cœur brisé. Aurore avait eu un petit ami, c’était chose courante à son âge. Mais elle ne l’avait pas eu pour être comme tout le monde, mais pour une bonne raison. Il était celui qui la désirait le plus. Il l’aimait avant qu’elle ne le veuille, il était hanté par elle avant qu’elle ne l’aime. Elle la sublime vierge, elle s’était offerte à lui parce qu’elle en était amoureuse, lui avait accepté ce présent parce qu’il la voulait pour la vie… Leur histoire avait duré cinq mois. Cinq mois durant lesquels elle connut l’essentiel de l’amour. Pour elle cela ne tenait plus en rien d’autre qu’en trois étapes, Amour, Habitude, Lassitude. Ce n’était pas son cœur qui avait été brisé, non Aurore avait préférer être celle qui broierait sans pitié aucune les sentiments de l’autre. Pour ne pas être encore une fois l’enfant faible. Mais elle n’avait pas fait ça méchamment, juste de façon instinctive.

    Au cour de sa sixième année elle avait continué d’être l’élève si douée qu’elle était, cela lui avait d’ailleurs valu d’être sélectionnée pour cette année d’étude à Poudlard. Hier encore elle avait eu une vision de ce que l’avenir lui réservait… De manière sibylline bien sûr, comme toujours. Elle ne contrôlait, encore, rien de son don de voyance, les flashs s’imposaient d’eux même, chamboulaient tout en elle et repartaient aussi vite qu’ils n’étaient venus. Au départ elle pensait que ces visions étaient le fruit de l’évolution de son mode de vie. Elle avait à seize ans, découvert les joies du sexe, de l’alcool, de la cigarette. Sa vie avait considérablement changé, elle participait à des soirées branchées lors desquelles elle cessait d’être la jeune fille mature et réfléchie, pour être la belle jeune femme belle et libre. C’était ainsi qu’elle avait vécu la plus part de ses expériences extraordinaires. Aurore était devenue une jeune femme exceptionnelle de part son intelligence et sa beauté, sa timidité rajoutait à son charme, mais elle commençait à rattraper les années de divertissement qu’elle n’avait pas eu, tout en ne perdant pas son objectif. Poudlard semblait un lieu plus que propice à l’évolution positive de la jolie nièce de Ollivander. De plus elle se sentait comme un poisson dans l’eau dans cet univers qu’elle apprendrait à connaître dès le lendemain, extraite de son milieu naturel pour un milieu qu’elle chérissait car il était celui de ses racines. Le milieu anglais.


Dernière édition par Aurore G. Delgrave le Dim 10 Jan - 22:55, édité 4 fois
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Nyx A. Svensson

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MessageSujet: Re: Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow.   Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. EmptyDim 10 Jan - 20:19

Mais il y a du Bledel de partout dis moi *o* j'aime bien tes petites bann' là et ton vava *bave*
Sinon ouai tu m'embêtais et finalement on a ouvert plus tôt :D c'était une jolie surprise =D et j'ai hâte de lire ce que tu vas nous pondre avec stricte interdiction de me dire que c'est de la merde, c'est jamais de la merde Rolling Eyes
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Aurore G. Delgrave

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MessageSujet: Re: Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow.   Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. EmptyDim 10 Jan - 22:57

    J'en ai fini de cette fiche. J'espère que ça conviendra, j'ai écrit "de la merde" par moment mais j'espère que tu seras satisfaite de moi ma Steph :P
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Nyx A. Svensson

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MessageSujet: Re: Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow.   Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. EmptyDim 10 Jan - 23:14

    C'est une très jolie fiche, le style est léger et pourtant très riche en vocabulaire. C'est toi tout craché. Tu as bien cerné le personnage cependant n'omets pas que sa faiblesse fais également sa grande force.

    La beauté c'est quelque chose dans le regard qui exprime l'intelligence, et l'intelligence c'est quelque chose dans le regard qui exprime la beauté.

    FOREIGNERS - RAVENCLAW est ta place. Tu leur rapporte 5 points grâce à ton inscription ;D
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MessageSujet: Re: Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow.   Aurore G. Delgrave. You shouldn't have thought I was as white as snow. Empty

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