F. Luka Krüger || My soul hurts me... like a H bomb

FRANZ
LUKA KRÜGER

18 ans ; 4° année ; 25 % pur ; résistant

F. Luka Krüger || My soul hurts me... like a H bomb Idwzux

IDENTITY

NOM ; Krüger - Plus allemand que ça tu meurs
PRÉNOM ; Franz Luka - Son père ayant pour habitude de l'appeler Frizi en sachant pertinemment qu'il n'aime pas cela, il se fait appeler par son second prénom
ÂGE ; 18 ans - La majorité chez les moldus, et enfin le droit de se défaire de l'autorité parentale
DATE DE NAISSANCE ; 23 Mars - Jour du printemps
LIEU DE NAISSANCE ; Dundee - Ne cherchez pas, c'est de la vraie pure écosse, la ville de la marmelade d'orange
PURETÉ DU SANG ; 25% - Dans sa famille, seule sa grand mère maternelle et sa tante Elzi sont sorcières. Sa mère cracmole a eut beaucoup de mal à le vivre et espère encore pouvoir empêcher son fils de devenir sorcier
NATIONALITÉ ; Allemande & Britannique
LIEU DE RÉSIDENCE ; Dundee - Malheureusement encore chez ses parents.

YOU CAN'T HIDE ANYTHING

MAISON & ANNÉE ;

CAMP ;

DON(S) ;

PATRONUS ;

ÉPOUVANTARD ;

MIROIR DU RISED ;

FUTUR MÉTIER ENVISAGÉ ;

I WANNA KNOW YOU

DEscriptION PHYSIQUE ;

Luka est brun, terriblement brun. C’est la chose qui frappe tout de suite lorsqu’on le regarde pour la première fois. D’un noir corbeau, entièrement naturels, ses courts cheveux et ébouriffés donnent un contraste saisissant avec sa peau. Blanche, laiteuse, on dirait à voir sa peau que Luka n’a jamais mit le nez dehors. En fait, son petit corps mince a l’air faible. On dirait qu’il est malade, fatigué. Pour dire vrai, il pèse environ 50 kilos pour 1 mètre 67, ce qui ne fait pas beaucoup comme vous en conviendrez. De plus, il porte souvent des vêtements amples qui noient encore plus son corps en produisant une impression indéfinissable de faiblesse. Son visage est très fin, avec des traits droits. Il ressemble à une petite poupée de porcelaine, et il n’est pas rare que certains pensent que ses traits sont ceux d’une fille. Mais non, monsieur Luka est bel et bien un homme, avec tout ce que cela implique. Bref, son nez est droit, ses yeux en amande comme ceux d’un chat, ses joues lisses aux pommettes hautes. Ses lèvres son d’une couleur rose nacrée et pale, fines. Il sourit peu, rit encore moins, et ses moues boudeuses sont fréquentes. Il a volontiers un sourcil haussé et ironique, signe d’une petite pointe de sarcasme qui n’échappe que rarement à son interlocuteur. Luka se tient rarement droit, et passe le plus clair de son temps avachit quelque part, assis en tailleur ou les genoux repliés contre son torse. Il a une allure peu gracieuse, comme le grand albatros décrit par Baudelaire. Ses yeux sont bleus comme un lac gelé. Coté vestimentaire, on retrouve un certain négligé. Comme dit plus haut, des vêtements parfois amples, bien qu’il ne rechigne pas à des habits prêts du corps. Il ne porte pas une grande attention à son aspect vestimentaire hélas, car il pourrait être bien plus beau en étant élégant. Quoique non, beau n’est pas le mot. Luka possède un certain charme, celui du héros sombre écorché vif, celui du poète maudit.

DEscriptION MORALE ;

Comme son physique le laisse suggérer, Luka est un garçon assez singulier. Sensible, il n’attend qu’une chose, trouver quelqu’un qui voudra bien le protéger et s’occuper de lui. Il est attentif aux marques d’affection, et en est presque touchant et candide. Pourtant, il pense ne pas mériter de l’affection du fait que son père le rabaissait sans arrêt. Il en résulte un caractère contrasté entre le besoin d’être aimé et une certitude qu’il ne le sera jamais. De là viennent des réactions assez froides voire ironiques face aux gens. Un certain sarcasme et un humour noir sont sa réaction face à la vie, et il n’est pas le bout en train que l’on invite aux fêtes. Il préfèrera de loin la solitude et les endroits romantiques comme un lac ou ce genre de choses. Il a peur de recevoir des autres le même traitement que celui que lui faisait subir son père, et pense alors que la meilleure défense est le repli au fond de sa coquille. Il n’a que de rares amis, bien que beaucoup de gens souhaitent en faire partie. Personnalité attachante par sa maladresse face aux gens, garçon assez mignon et talentueux, il attire parfois les gens à lui bien involontairement, et ne sait que faire face à cela. Artiste dans l’âme, il trouve un exutoire dans la photographie, l’écriture, et parfois aussi la peinture. Ame torturée, écorché vif, les noms ne manquent pas pour le désigner et pour qualifier l’aura étrange qui tourne autour de lui. Il est comme un petit animal apeuré et acculé dans un recoin, craignant qu’à tout moment on ne lève la main sur lui.

WHO'S BEHIND THE CHARACTER ?

AVATAR ;

PSEUDO ;

ÂGE ;

OU AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? ;

SUGGESTIONS ;

CODE DU RÈGLEMENT ;

AUTRE CHOSE ? ;

TELL ME YOUR STORY

HISTOIRE ;

C’était un après midi de Juillet, et le soleil étalait ses longs rayons sur la campagne écossaise. Luka Krüger, habillé d’un jean et d’un large débardeur noir, s’assit sous un vénérable tilleul centenaire. La douce brise qui courait sur la lande ébouriffait ses cheveux bruns plus encore et embaumait l’air de tilleul frais, feuilles de l’arbre merveilleux. Heureusement que l’air d’Ecosse n’est jamais moite et irrespirable comme dans le sud, Luka n’aimait pas cela. Il aimait par-dessus tout se reposer sous cet arbre lorsqu’il en avait le temps. C’était souvent le cas pendant ces vacances. Loin de Poudlard, il se sentait déraciné et perdu dans un monde hostile où son père était le seul interlocuteur possible. Doucement, il ramassa une feuille tombée près de lui et l’examina silencieusement. Des souvenirs revenaient à sa mémoire comme des boulets de canon sur le général de Turenne.

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tilia platyphyllos - rosa damascena

Chapitre 1 : Des lys et des ronces (lilies and reed)

Quand il était petit, Luka voulait devenir médecin. C’était son grand rêve, de pouvoir aider les gens. Assit dans sa chambre, il faisait des bandages à son ours en peluche, Monsieur Méduse. Il ne parvenait pas à se souvenir pourquoi il avait appelé cet animal de ce nom là. Le nom avait dut lui plaire. Cela lui arrivait assez souvent. Il aimait les mots, les répétait dans sa tête comme un œnologue fait tourner le vin dans son verre pour en apprécier la robe et la lumière. Les mots répondaient à son univers sensible et délicat, à sa nature d’esthète en herbe. Non ce n’est pas pour vous faire croire que Luka était un ange absolu, pas le moins du monde. Comme tous les enfants, il avait des bons et des mauvais côtés. Mais comme son instinct de petit garçon qui fait des bêtises avait été brimé par un père intransigeant, il avait apprit à ne plus être que douceur. Luka avait un herbier. Vous savez, ces grands cahiers où on laisse sécher une fleur scotchée entre deux pages avec son nom écrit sur le côté. C’était une activité qui le détendait et lui faisait oublier sa tristesse quotidienne. Mais il était forcé de la pratiquer en secret de son père qui n’appréciait pas beaucoup les artistes et les poètes. A table, Lars Krüger se mettait en rage noire contre ceux qu’il qualifiait de « paresseux » et de « parasites de la société ». Un homme charmant que ce personnage, si peu prompt à pardonner leurs faiblesses à ses semblables.

Mais c’est un soir de Mars que cet amour des plantes fut le plus contré. Agé de 6 ans, Luka Krüger était bien sagement dans sa chambre. Son père lui avait intimé l’ordre formel d’y monter et de ne plus en sortir jusqu’au lendemain. A bien y réfléchir, cela arrangeait Luka. Il n’était pas si friand du gâteau au chocolat extra lourd à la crème de sa tante Elzi, et il avait des choses à faire. Avec une grande précaution, il allât chercher au fin fond de son placard pour en sortir une grosse boite en osier qui ressemblait à un petit coffre. De la boite il sortit un grand cahier. Son herbier chéri. Il attrapa dans son sac d’école son cahier de brouillon et en fit tomber les fleurs qu’il avait récupéré sur le chemin en rentrant à la maison. Il allait procéder à son activité favorite, l’épinglage dans son herbier d’une autre variété manquante de sa collection. Mais bien entendu, il aurait été trop simple que cela se passe sans mal. Comme un fait exprès, ce fut le moment que choisit son père pour entrer dans la pièce. D’un seul coup, envoyant la porte contre le mur, Lars arriva, reniflant comme un bœuf. Son regard s’arrêta sur un Luka pétrifié qui avait suspendu tous ses gestes. Son cerveau lent de militaire borné mit un petit temps à réaliser l’étendu de la situation, mais dès qu’il comprit, son visage devint rouge de fureur.

« Que fais tu donc Luka ? »

Sa voix était bizarrement calme, et ce fut encore plus terrifiant que si elle avait été colérique. Il s’approcha de Luka avec comme de la douceur.

« C’est quoi ça ? »

« Un… un herbier papa. »

« Un herbier, comme c’est joli. Tu sais ce que je pense de ces choses là Luka ? »

« Ou… oui je crois. »

« Alors peut tu m’expliquer pourquoi tu en as fait un ? »

« Parce que… j’aime bien ça. »

« Voyez vous ça. Tu aime ça faire un herbier ! »

Il attrapa son fils par le bras violemment, soulevant presque du sol son petit corps frêle. Il avait prit de son autre main le fameux cahier, le tenant à deux doigts comme on le fait de quelque chose qui nous révulse.

« Qu’est-ce que tu est Luka ? Un homme ou une de ses chiffes molles demeurées ? »

« Un homme papa. »

« Alors pourquoi tu fais un herbier hein ? Comme ces tarlouses qui aiment la nature ? Tu es une tarlouse Luka ? »

« Non papa ! »

« Je l’espère bien ! »

Il le reposa sur le sol mais l’entraina avec lui dans l’escalier. Il descendait au salon. Luka avait du mal à suivre les grands pas de l’adulte. Dans le salon, le feu ronronnait dans la cheminée. Luka avait bien peur de comprendre ce que Lars comptait faire, et cela le plongeât dans une intense peur panique. Et en effet, le militaire ouvrit la grille du feu et jeta l’herbier dedans avant de refermer. Luka s’agenouilla par terre, regardant son cahier se faire dévorer par les flemmes orangées.

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Sous son arbre, Luka eut un sourire amer au souvenir de cet épisode. Il se souvenait avoir passé la nuit à pleurer en silence dans son lit après cela. Rien que de penser à tous ces trésors perdus, qui n’étaient pas que des plantes pour lui. Il y avait par exemple dans ce cahier la marguerite que lui avait montré sa tante Elzi et qu’elle lui avait dit dans un murmure complice de cacher vite dans sa poche pour mettre dans son herbier. C’était elle qui en avait eut l’idée et qui lui avait montré comment faire. Il y avait bien d’autres plantes qu’il avait trouvé et qui étaient des petites perles de souvenir. Bien sur, il en avait fait un autre après cela, quand il était à Poudlard et sur de ne pas se le faire mettre au feu par son père. Tante Elzi était la tante de sa mère, un peu fantasque et proche de la nature. Elle lui semblait un être surréaliste dans ce monde là. Il comprenait mieux certains éléments maintenant qu’il était sorcier.

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Matriochka - Key Lime Pie

Chapitre 2 : Les poupées russes (russian puppets)

« Ne bouge pas Luka. Je vais la faire partir. »

Le petit Luka regardait en louchant la petite abeille qui se promenait autour de sa tête. 10 ans, assit à la grande table en bois de la cuisine, il attendait patiemment que sa tante chasse l’importun insecte. Armée d’un torchon, Elzi donna des petits coups dans l’air pour faire partir l’abeille. celle-ci, sans doute fâchée par ces mouvements, s’enfuit en voletant par la fenêtre grande ouverte. D’un air triomphant, Elizabeth Hopkins mit les poings sur ses hanches et regarda son petit neveu, sa longue tresse blanche tombant su son épaule. Luka, pensif, regarda le gâteau posé sur la table face à lui.

« Elle a dut être attirée par l’odeur du sucre. »

« Surement mon trésor, surement. »

Elle eut un sourire et prit la tête de Luka contre son ventre, entourant sa petite tête de ses bras avec tendresse. Cet enfant était pour elle un don du ciel. Il était attachant, doux, sensible. Surtout lorsque l’on savait quels beaux salops étaient ses parents. Une telle délicatesse était un miracle inespéré. Elzi croyait aux signes du Destin, de la bonne Fortune, et elle se disait que cette petite créature fragile était un cadeau de la Providence, signe de jours meilleurs. Elle sentait le chaos venir, comme un vent mauvais. On avait dit que Potter avait vu le seigneur des ténèbres. Elizabeth avait peur, comme beaucoup de sorciers, que cela sonne le glas de jours heureux. Maudit soit ce corbeau infâme. Elle qui était experte en malédictions en aurait volontiers proféré une contre les adorateurs de ce mesquin personnage. Mais bon, il y aurait forcément des meilleurs jours comme des pires dans cet avenir. Elle espérait juste que les périodes sombres seraient moins longues. Elle soupira, écoutant la respiration apaisée de Luka. Mais les apparitions subites étant légions dans cette famille, la mère de Luka, Charlotte, entra à ce moment là dans la pièce. Elle haussa un sourcil mais ne fit rien de plus, se contentant d’aller se servir une tasse de café.

« Tu ramollit trop cet enfant tante Elzi ! »

« Oh écoute Cha, au moins il aura un peut d’amour. On ne peut pas dire que tu en fasse beaucoup preuve. »

Une pointe de reproche se faisait entendre dans cette voix claire et douce. Charlotte posa brusquement le dossier qu’elle tenait dans les mains et fit volte fasse, toisant d’un regard indéchiffrable sa tante.

« Je travaille, et j’ai toujours travaillé dur pour en arriver là. Ca c’est une perte de temps. »

« Tu sera gentille de ne pas parler de ton fils en utilisant le mot « Ca ». »

Sa voix devenait agacée, et Charlotte préféra abdiquer sous son regard sévère. Elle reprit sa tasse et son dossier en leur tournant le dos. Elle était chasseuse de têtes. En d’autres termes, elle s’occupait de dénicher les gens qui avaient un talent quelconque, dans tous les domaines possibles, pour leur faire signer des contrats. Elle travaillait pour une agence de mannequinat, un producteur de disque, une compagnie qui faisaient faire des casting à de jeunes acteurs, et ainsi de suite. Il était exact de dire qu’elle n’avait pas de temps à consacrer à son fils. Mais cela ne voulait pas dire non plus qu’elle en aurait eut envie si elle avait eut plus de temps à lui consacrer. Luka le sentait bien malgré tout. Un silence plana sur leurs têtes avant que Charlotte ne lâche dans un souffle.

« Quand il fera de grandes choses, il deviendra intéressant. »

« Comment ta mère a put concevoir une créature si insensible que toi ? »

« Tu parles ! C’est elle le monstre, et toi avec ! Vous êtes... anormales. »

Et elle quitta la pièce comme elle était venue, rapide comme la foudre frappant le ciel.

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Bien sur, le sens de ces dernières paroles proférées par sa mère prenaient tout leur sens maintenant. Cracmole, sa mère ne supportait pas les pouvoirs de sa mère et de sa tante. Elle les considérait comme des créatures néfastes. Luka eut un petit rire nerveux en songeant à la réaction de ses parents en voyant qu’il était un sorcier. Son père était entré en rage et sa mère était devenue pâle comme un fantôme. Il avait aussitôt couru se réfugier chez sa tante Elzi, persuadé qu’il était un monstre. C’était encore une fois elle qui lui avait tout expliqué. Cette période de doute sur ses pouvoirs semblaient si étrangers pour lui à présent, comme si cela s’était déroulé deux siècles avant. Il n’arrivait pas à se souvenir précisément des faits qui s’étaient déroulés entre l’arrivée de la lettre et l’entrée officielle à Poudlard. Par contre, il se souvenait précisément de son premier soir au château.

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Chapitre 3 : Dans les bois éternels (in eternal woods)

Luka releva la tête pour regarder la haute porte de Poudlard. C’était très grand, vraiment très grand. Ca le changeait de Dundee où tout semblait si petit. C’était un vrai décors de conte de fées, avec des murs en pierre et des grilles lourdes. Non vraiment, Elzi avait beau lui avoir expliqué comment était cette école, il ne parvenait pas à cacher son émotion. Enfin, son émotion n’était pas forcément évident à déceler pour le commun des mortels et pour ses camarades autour de lui, habitué qu’il était à ne jamais pouvoir montrer son enthousiasme. Le voyage dans le train avait été tranquille, les deux personnes s’étant installées dans le même compartiment ayant fait l’excellant choix de rester silencieux en lisant ou admirant le paysage qui défilait. Luka leur était reconnaissant de ne pas avoir engagé la conversation. Il aurait bien sur répondu le plus poliment possible, mais cela ne l’aurait en rien amusé. Et que dire de la balade en barque sur le lac ? C’était tout bonnement stupéfiant. Mais bon, tout bonheur devait connaitre ombrage, cela était écrit dans le grand livre des vérités transcendantales. En effet, un petit groupe s’approchait de lui en ricanant. Encore de stupides individus fiers d’eux et de leur vanité. L’un d’eux attaqua en premier.

« C’est quoi ce truc ? Ils acceptent vraiment n’importe quoi ici pas vrai ? »

Un autre se mit à rire. Celui qui l’avait ainsi attaqué continua. C’était un garçon brun, plus grand que lui, aux yeux vicieux. Sans doutes un sang pur cherchant à faire rire ses amis. Mais jamais il ne pourrait lui faire plus de mal que ce qu’il avait déjà vécut. Alors il pourrait toujours essayer, ça ne prendrait pas.

« Dis moi le microbe, tu as des sorciers dans ta famille ? »

« Ma grand-mère, et ma tante. »

« Ca nous fait seulement un quart ça. C’est moche d’oser venir ici ! »

Il eut un gloussement ravi et s’éloigna, entouré de ses camarades et sur que sa plaisanterie avait fait mouche. Mais non, Luka le regarda partir plus loin pour embêter d’autres personnes. C’était juste un comportement puéril de meute bête et méchante. La violence physique seule pouvait encore effrayer Luka. Mais la violence verbale ne pourrait jamais plus l’atteindre comme le faisait si bien son père. Luka tourna doucement la tête vers un autre garçon assit plus loin. Pale et presque blond, il avait le regard vide de quelqu’un qui a eut à souffrir de quelque chose. Surement lui-même avait ce regard. Il se surprit à l’examiner des pieds à la tête. Il avait une aura forte qui déchirait l’atmosphère de la nuit. C’était quelque chose d’assez surnaturel, quelque chose qui le toucha de plein fouet. C’était si peu habituel quelqu’un comme cela. Et Luka devait admettre qu’il ne le laissait pas de marbre, bien qu’il se demandait ce qui le faisait penser tout ça. Il le dévisageait avec un culot qui le dépassait lui-même. Aussi, quand l’autre tourna la tête de son côté, il ne put faire autre chose que de baisser les yeux. Ça ne se faisait pas de regarder les gens comme ça. Il se sentait tout d’un coup faible et misérable. Seul son père le faisait se sentir comme cela, et cela le plongeât dans une rage intérieure curieuse et injustifiée. Il cessa de le regarder. Quelle impression étrange ! Il s'était tout d'un coup sentit moucheron dans une toile d'araignée. Il se demandait à présent ce que pouvait être cette aura qu'il avait crut déceler. Il réfléchit longuement, attendant qu'on les fasse entrer dans la grande salle pour la cérémonie. Elzi lui avait parlé de quelque chose, et il se pouvait fort bien que ce personnage y corresponde. La magie noire, l'aura démoniaque. Luka se demandait comment une personne pouvait en arriver à détester à ce point les autres pour vouloir le mal. Soit disant parce qu'ils auraient été malheureux. Luka avait eut une enfance dure, avec des parents qui ne l'aimaient pas et seul le réconfort de sa tante. Mais jamais il ne se sentirait autorisé à être mauvais avec les autres. Pour lui, la souffrance n'était pas une excuse, jamais. Ca pouvait être une force, une motivation, mais jamais une autorisation à faire n'importe quoi. Il préfér chasser cette impression de sa tête. Il était encore trop jeune pour ces problématiques. L’air du soir était frais, et soufflait en provenance de la forêt interdite par l'une des grandes fenêtres restées ouvertes. Interdite était un qualificatif qu’il n’aimait pas. Il sentait que la foret l’appelait doucement à la rejoindre. Ce sentiment de liberté qu’il n’avait jamais connu jusque là se réveilla en lui, une envie de faire enfin ce qu’il voulait. Il savait que dès le lendemain, il irait faire un tour dans cette fameuse foret qui ne lui serait pas interdite bien longtemps.

Promenons nous dans les bois... pendant qu'le loup n'y est pas !

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interdits

HAN LUKA le grand comeback <3 ! Et fidèle à la Couleur poussin. Deux fois plus qu'une je suis contente de te voir ( Cassian à l'appareil...) ENFIN bref ;D j'ai hâte de voir ça & tu as 10 jours pour nous finir ça ^__^ je file te réserver ton avatar !

Meurchi beaucoup cass' ! Je pense apporter quelques modifications à ce personnage mais il restera dans le plus pur esprit lukassien... troisième fois que je le joue... suis ému *w* ... qui moi je flood ? naon :D

interdits

Mais Luka on l'aime comme il est voyons ce gentil et brave petit gars *-* au sang impur mais on s'en moque ! Moi je t'aimerais quand même Embarassed

Mdr tu veux un mouchoir peut-être ? x)
AJE est assez différent de Hogwarts MF, tu le verras bientôt, tu peux flooder à mort sur ta fiche sans que cela dérange, n'est-ce point magnifique ? gogole

Merci bien. Non pas besoin de mouchoir ça ira.... je vais rester stoïque face au flot d'émotion geek

Ohh oui ! Mais c'est véritablement magnifique *w*
Bon bah reste plus que l'histoire... mais je ferais ça surement dans deux jours. Demain partiel d'économie et après demain Histoire du droit... aie

... a part bien sur si on me laisse utiliser l'histoire écrite pour MF brave beyte

*oui oui je sors ok poussez pas*

Pardon du DP... j'ai finit ^__^

POUFSOUFFLE !

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